C’est pour le DAHIRATOUL « MOUSTARCHIDINA WAL MOUSTARCHIDATY » et pour moi-même, un honneur de recevoir ici, en ce jour solennel marquant l’ouverture de l’Année de la Femme “MOUSTARCHIDATE”, tous ceux qui ont bien voulu rehausser de leur présence cette grande cérémonie qui revêt une double signification.
Certes, beaucoup de gens se poseront la question de savoir « POURQUOI UN DAHIRA ET UNE ANNEE DE LA FENME ?
Car l’Année Internationale de la Femme décrétée sous l’initiative de l’O.N.U. devait largement couvrir tous les besoins de la femme en ce monde plein de mutation!
Mais la réponse est simple : il s’agit de savoir que « Bâtir une société modèle » n’est pas une tache que l’on peut achever en une année… Bâtir une société modèle est un chef d’oeuvre qui exige une action rémunératrice et permanente, de siècle en siècle et d’une année à une autre.
Et la femme, en tant qu’actrice principale de toute cette mise en scène doit mériter l’attention de tous. Car, depuis l’aube de l’humanité, elle n’a cessé de mener une lutte sans merci pour la sauvegarde de l’être humain malgré les nombreux obstacles qui se dressent sur son chemin.
Un passé tragique a imprimé le casier judiciaire de cette mignonne créature ; des qualifications erronées ont falsifié son identité pour l’empêcher d’obtenir le visa d’entrée qui peut faciliter son intégration aux rangs des hommes. Dans toutes les entreprises de la vie, elle a toujours été victime d’accusations de toutes sortes.
En ces termes, vous jugerez vous-même tout cet arsenal de culpabilité utilisé contre elle ; considérée comme instrument de destruction, la femme n’a jamais gagné son procès. Devant la barre, elle a toujours prouvé son innocence mais le jury a délibéré pour le refus de ses témoignages.
Dans le « livre des Snobs » de W M THACKERAY, on y trouve cette sentence : Depuis Adam il n’y a eu guère de méfaits en ce monde où une femme ne soit entrée pour quelque chose ».
En 1618, « le style des Courtisanes » est allé plus loin quand il nous dit :
« Ni du fondre éclatant l’épouvantable bruit,
Ni les affreux démons qui voient jour et nuit,
Ni du père des Dieux le saint commandement,
Ne sauraient empêcher la femme de faire mal »
Maurice DONNAY nous confie ce témoignage :
« les femmes sont toujours des écrivains qui ne ressemblent pas souvent à leurs œuvres et toutes ne valent jamais ce qu’elles vous disent à leurs heures d’amour et de trahison, de joie et de tristesse.. »
C’est là, Mesdames, Messieurs, Chers invités, que l’initiative d’organiser cette Année de la Femme trouve sa raison d’être, car, dans tous les pronostics, la femme a toujours constitué un point d’interrogation dont l’histoire n’a jamais pu trouver la réponse définitive.
L’auteur du livre: « Comprendre les femmes et leur psychologie profonde » nous donne ici le portrait de la femme en Occident et en Orient:
En Occident :
« Les hommes ont toujours trouvé le moyen d’enfermer la femme dans les interdits sociaux qui entravent sa possible libération. Le moyen âge avait péniblement concédé une âme à la femme. La renaissance de la culture gréco-latine la lui a arrachée.
Elle est devenue l’animal capricant, enfantin, que l’homme grand guerrier a tenu dès lors pour mineur. A son corps défendant, la femme est devenue détentrice des ’’humeurs’’ que les hommes jugent indignes d’eux. Ce sont les caprices qu’ils ne veulent pas avouer. ». Pourtant, combien sont-elles plus chanceuses que leurs sœurs d’Orient.
En Orient :
« Moins chanceuses que leurs sœurs d’Occident, la femme de l’Orient est inséparable du père, du mari ou du fils; là elle est seulement un ventre échangé de clan en clan :
* Ventre honorable s’il est fertile en progéniture mâle (ce qui augmente les chances de la famille à assurer son autosuffisance alimentaire)
* Ventre dédaignable s’il y n’enfante que des filles ; cette chaire sans grands prix, possédant un savoir intuitif, immémorial, du lieu d’asile qu’est le foyer. » Ce qui veut dire que les femmes sont apparemment libres mais invisiblement liées par un code d’honneur strictement masculin.
Parlons à peine des mères… La petite enfance est, sans compter la fatigue, une période de désert dans la vie d’une femme qui élève son bébé. Le mari, excédé de sa journée de travail, dort. Comme auparavant, elle, veille sur l’enfant. Le contraire est encore impensable.
C’est pourquoi, la soif de réassurance des femmes actuelles est immense, car vivant dans une époque où la stabilité intérieure est remplacée par une psychologie suicidaire et où l’être cède la place à tous les paraîtres superficiels.
Qu’elles aient dix-huit ou quatre vingt ans, qu’elles travaillent ou non, les femmes cherchent une réponse au fait d’avoir été dupées de tout temps. Et elles demeurent grugées aujourd’hui, plus que jamais; elles le ressentent, malgré les cadeaux dorés qu’on leur apporte.
Ballottées de gauche à droite, culpabilisées partout, elles ont entamé un dangereux mouvement pendulaire.
Que cherchent-elles? A sortir de leur insécurité affective. Mais qui les en sortira ? Ceux qui leur diront pourquoi on les relègue, pourquoi on les abandonne, pourquoi on les asservit; aujourd’hui comme hier.
L’homme les trompe sans le savoir parce qu’il subit une angoisse éternelle dont-elles font les frais. Mais les femmes se sont également trompées elles-mêmes en se faisant les complices involontaires de cette angoisse masculine et en transformant souvent la puissance de la féminité en un charme malingre, sans créativité.
Et ce qui est dramatique devant ce spectacle douloureux, c’est que beaucoup de femmes savent mieux que quiconque les différentes crises qui bloquent leur épanouissement; mais elles préfèrent l’ignorer et l’enterrer à jamais.
Malgré tout cela, elles sont, soit les miracles du Ciel, soit les phénomènes de la nature. Bien sûr, on les traite de tous les noms:
* Esclaves des vices
* Courtisanes ou maîtresses,
* Épouses ou mères de famille,
* Asservies ou libres,
* Ouvrières ou présidentes.
Les femmes d’aujourd’hui sont la puissance occulte qui conduit le monde. Qu’on le veuille ou non, c’est la réalité du siècle; donc force est d’orienter cette puissance vers le bon et le meilleur pour que l’humanité toute entière retrouve son équilibre et sa stabilité.
Mais, la question que je me pose est celle-ci:
« Existe-t-il une solution à l’éternelle errance de la femme ?»
Je ne sais pas! Le Prophète de l’Islam, Seydouna Mouhamad (PSL) est là pour nous donner des propositions qui, seules, peuvent remédier aux problèmes de la femme, cet être chassé de tous bords. Car l’Élu de Dieu disposait en lui la magie singulière qui brisait toutes les étapes de son existence, du ventre maternel, jusqu’aux flancs inconsolables de la tombe.
Il disposait en lui aussi, toutes les armes offensives ou défensives pour sauvegarder la dignité de celle-là qu’il considère comme couveuse des richesses mystérieuses et abstraites livrées en don par le Ciel, donc, elle mérite plus qu’une simple attention.
Il est nécessaire, sans nul doute, de confirmer que l’Islam a toujours été le seul Avocat à savoir assuré sa défense.
M. Édouard MONTET, professeur de langues orientales à l’université de Genève a dit ces propos dans son introduction à la traduction du Coran :
« Mohamed (PSL) peut être compté au nombre des plus grands bienfaiteurs de l’humanité.
La seule réforme de l’interdiction absolue du meurtre des filles à leur naissance avait suffi pour assurer à Mohamed (PSL) un nom inoubliable dans l’histoire de son temps. »
Pour Seydouna Mohamed (PSL): « Les femmes sont les sœurs des hommes »
Et dans le Coran de Dieu, il y’a des propos d’une extrême clarté relatifs à l’unité du genre humain, sans distinction de sexe en ce qui concerne la plénitude des droits.
Dans la Sourate «AN NISSA », Dieu nous adresse ces paroles:
« Ô vous les Hommes, craignez Dieu. Ce Tout Puissant qui vous a créé d’un même souffle et de ce souffle, Il a créé un couple dont procèdent beaucoup d’hommes et de femmes. »
Pour la réciprocité des droits et des obligations dans les rapports entre les hommes et les femmes, le Coran nous dit ceci:
« Les Femmes jouissent de droits correspondants aux obligations qui leur incombent vis-à-vis des Hommes et les Hommes vis-à-vis des Femmes assument des responsabilités prioritaires ».
Le Prophète (PSL) de l’Islam n’a pas manqué une seule occasion pour faire et dire ce qu’il fallait faire ou dire. Car au point où en était arrivée la femme en humiliation et en mépris dans beaucoup de tribus de la Péninsule des Arabes, au moment où retentit l’Appel de l’Islam, Mohamed (PSL) ne pouvait rester indifférent à la nécessité de trouver des solutions dans l’immédiat.
Le Coran, son Livre Saint, a pris catégoriquement position contre de telles pratiques marginales.
Vous constaterez avec moi, dans les Versets qui suivent, le ton utilisé en guise de représailles contre tous les actes barbares destinés aux femmes :
« Quand on annonçait à quelqu’un la naissance d’une fille, sa figure s’obscurcissait et se couvrait de soucis. Il évitait la société pour ne pas rougir de ce qui lui a été annoncé… Combien de tels hommes ont tort. »
« Et si l’on demandait à l’enterrée vivante quel mal a-t-elle commis pour être mise à mort ? »
De cette façon donc, l’Islam a porté la femme de la situation la plus basse au plus haut sommet de l’échelle sociale. En Islam, il n’y a plus de différence entre l’Homme et le Femme même dans la capacité d’exercer de l’autorité et de la puissance. Il est dit, en effet, dans le Coran:
« Les croyants et les croyantes sont responsables mutuellement les uns envers les autres. Ils ordonnent le bien et interdisent le mal »
Le Prophète (PSL) est allé plus loin encore en ce qui concerne la promotion de la Femme; il a toujours préféré sa dignité face à celle de l’homme. En effet, quand quelqu’un lui demanda :
« Ô messager de Dieu, quel est l’humain le plus digne de mes égards? »
Le Prophète répondit: « Ta mère »
L’homme l’interrogea encore: « Et après ma mère? »
Le Prophète répondit: « Ta mère »
Il insista: « Et puis ? »
Le Prophète répondit: « Ta mère »
Et enfin, il questionna: « Et après ma mère? »
Le Prophète répondit: « Ton père »
En passant en revue toute cette chaîne de versets de Coran accompagnés des témoignages du Prophète (PSL), nous pourrons juger facilement la position de l’Islam dès le départ à l’égard de la Femme.
Car, des observations de nature équivoque dans la législation coranique ont suscité des critiques contre l’Islam pour l’accuser de contraindre la Femme et lui arracher toute sa liberté. Ces équivoques portent habituellement sur les problèmes suivants:
– L’inégalité entre l’homme et la femme dans les droits de succession,
– L’inégalité entre l’homme et la femme quant à la preuve testimoniale,
– Le caractère unilatéral du divorce,
– La polygamie,
– Le voile,
– Les châtiments corporels dans le cas de viol et d’adultère, également administrés aux hommes et aux femmes.
Ce qu’il faut retenir de l’ensemble de ces observations relatives aux différentes recommandations de l’Islam à l’égard de la Femme, c’est surtout la souplesse des propos utilisés par le Coran. Le Livre Saint de Dieu utilise simplement une mise en garde, mais n’exécute pas de réquisitoire, nous disait Cheikh Ahmed Tidiane SY.
El Hadji Malick SY lui, nous demande de ne pas nous tromper sur la rigueur apparente des textes; ce qui veut dire que la « Charia Islamique » est loin d’être là pour nous imposer uniquement ses recommandations, mais plus précisément pour couper le contact avec tout ce qui nous conduira à commettre des excès. Donc, c’est une question de dosage et d’équilibre pour permettre à la femme de mériter le grand patrimoine humain dont elle est la dépositaire la plus hautement qualifiée.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Seydatouna Aïcha, épouse du Prophète (PSL) avait toujours refusé de cautionner l’accusation de certains musulmans fanatiques qui portait atteinte à son image de marque en tant qu’épouse par excellence de cet Homme d’envergure universelle, Seydouna Mohamed (PSL) que l’on connaît avec ses vertus sans égal et sa noblesse sans limite.
Elle a, en effet, été surprise et déçue, d’avoir été accusée de concubinage avec un garçon de 20 ans. Une accusation diffamatoire que personne ne pouvait imaginer à l’endroit de cette Femme envers laquelle Mohamed (PSL) fondait tout un espoir.
Même le Ciel n’admettait pas de rester indifférent devant une telle situation, car les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu’elles n’ont pas commises.
Raison pour laquelle, Dieu, Seul Témoin en ce moment douloureux a intervenu pour laver Aïcha de tout soupçon, car honnête et sage, elle était la couronne de son mari. Une femme d’une telle grandeur était loin de mériter une accusation pareille basée sur une simple rumeur.
Dieu en a saisi l’occasion pour punir toute sorte de diffamation. Mais la leçon qu’il faut tirer de cette histoire est que Dieu n’est pas intervenu parce que Aïcha, épouse du Prophète (PSL), a été victime d’accusation. Pour lui, il ne suffit pas seulement d’être épouse de Prophète (PSL) pour mériter une intervention divine. Il faut surtout de la maturité, de la sagesse, et d’un dévouement comme Aïcha a su en faire preuve pour s’élever à un plus haut degré, au rang de Compagne de Mohamed (PSL), Prophète de Dieu.
En effet, le statut d’épouse de chef confère, en même temps, celui de mère de toute une communauté, de telle sorte que la moindre faute condamnable pèse sur la conscience du Peuple.
Une demoiselle nous confie cette citation qui revêt une double signification:
« Hélas,à quoi sert à une Femme d’avoir de la tête et du cœur si le reste est sans agrément ? »
Pour certains penseurs, il y’a trois sortes de Femmes :
Celles qu’on épouse,
Celles qu’on aime,
Celles qu’on paie.
Ça peut très bien être la même: on commence par la payer, on se met à l’aimer, puis on finit par l’épouser. Mais, le Prophète de l’Islam (PSL) ne voyait pas la dignité d’une femme sous cet angle, car une femme digne de ce nom équivaut aux anges du Paradis. Son prix n’admet donc de remise qu’à la seule condition qu’une alliance de Dieu y soit : la Dot .
Dieu en a fait la description dans le Coran en nous disant :
« Les hommes vertueux doivent prendre comme épouses des femmes vertueuses. Mais ceux qui font honte doivent se contenter de celles qui partagent avec eux ce mal ».
Et pour nous confirmer ce jugement valable afin de rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. Ce Dernier nous donne, dans le Coran, deux images symbolisant deux types de Femmes :
* L’une est l’incarnation du parfait (Femme du Paradis), et
* L’autre, celle de l’imparfait (Femme de l’Enfer)
Il s’agit d’une part de MARIAMA, mère de Jésus, et de ASSIA, épouse du Pharaon d’Égypte…
Deux femmes qui incarnent, pour toute femme désirant une référence (l’exceptionnel) du Bon et du Meilleur.
D’autre part, les épouses des Saints Hommes que sont les Prophètes NOE et LOT, ont laissé des traces dans le désert de la trahison et de l’infidélité; des traces que jamais l’histoire ne saura effacer pour les générations à venir.
Et comme je le l’ai toujours dit: « La facilité est souvent synonyme de banalité »
La Femme ne doit pas être un marché ambulant que l’on porte partout et nulle part.
LAROCHE FOUCAULD nous livre ce témoignage :
« L’honnêteté des Femmes est souvent l’amour de leur réputation et de leur repos ».
Le statut de la Femme exige une révision permanente. Dans ’’Sélection du Reader’s Digest’’, on nous propose ce calendrier pour l’amélioration, l’épanouissement, et le rayonnement de sa condition:
De sa naissance à ses 18ans, il faut qu’elle ait de bons parents,
De 18 à 35ans, il faut qu’elle ait un physique agréable,
De 35 à 55ans, il lui faut de la personnalité,
A partir de 55ans, il lui faut de l’argent.
Mais personnellement, à la place de l’argent, je proposerai de la ‘’Dignité’’ car, quand il y’a absence de dignité, tout est alors remis en cause.
RABIYAL ADAWI disait en s’adressant à Dieu:
« Seigneur, me voici devant vous: je ne dispose en moi que de deux amours :
L’un m’appartient. Il s’agit d’un sentiment d’union dont les hommes d’ici-bas ne possèdent pas
les clés maîtresses pour m’en servir. Je vous le laisse.
L’autre vous appartient, car c’est le lien sacré qui attache ma toute petite créature à votre Tout
Seigneur »
Nous voilà arrivé en conclusion, Mesdames, Messieurs, Chers invités.
L’initiative de l’Année de la Femme « Moustarchida » ne revêt un caractère autre que celui qui veut qu’une femme, quelles que soient les circonstances, reste au fond d’elle-même digne, joyeuse.
C’est pourquoi, la Cellule Féminine a bien voulu prendre comme Marraines, les grandes figures religieuses telles que :
Seydatouna Khadija, première épouse du Prophète (PSL)
Seydatouna Aïcha,
Seydatouna Fâtima, etc…
Mais cela ne les a pas empêchées de jeter un regard sur le Sénégal pour trouver d’autres figures de grande envergure qui ont bien voulu nous offrir des hommes ayant agi, à leur tour, avec grandeur. Il s’agit de ces Femmes vertueuses qui ont donné naissance à :
Cheikh El Hadji Omar Foutiyou,
Cheikh El Hadji Malick SY,
Khalifa Seydi Ababacar,
Cheikh Ahmadou Bamba,
El Hadji Abdoulaye NIASS,
Seydouna Limamou LAYE,
Bou KOUNTA.
Ainsi que leurs promotionnaires. Ces hommes, dont les mères ont œuvré pour le bien être de l’humanité toute entière, méritent donc, de notre part, une attention toute particulière. Nous vous invitons tous, hommes et femmes, à être à nos côtés pour participer largement mais efficacement afin de donner à cette ‘’année’’ la place qu’elle mérite.
Je remercie, au nom du Dahiratoul Moustarchidina Wal Moustarchidaty et à mon nom personnel, tous ceux qui ont bien voulu apporter leur contribution pour la réussite de cette manifestation qui nous est si chère.
Je veux parler particulièrement de Monsieur le Président de la République qui a manifesté personnellement son agrément et sa joie quant aux initiatives du Mouvement ainsi que tous les membres de son gouvernement, sans exception, les autres « dawahirs », les Associations Islamiques, les mouvements de jeunesse et de femmes; enfin toutes les bonnes volontés qui ont rehaussé de leur présence cette cérémonie solennelle.
Nous disons à toutes et à tous MERCI.
Que Dieu vous garde longtemps avec nous.
Serigne Mouhamadou Moustapha SY
Président du PUR